Depuis 2012, Bourakébougou, situé à 40 Km de Bamako, est alimenté par l’électricité verte produite par Petroma AC à partir de l’hydrogène naturel. Pour la première fois, les habitants de ce village se sont prononcés sur les apports du projet Petroma, dont la phase d’exploration vient de s’achever.

Le village de Bourakébougou, dans le cercle de Kati au Mali, est au cœur de la révolution énergétique amorcée par Petroma AC du milliardaire Aliou Diallo. Depuis 2012, l’entreprise a installé dans ce village une unité pilote qui transforme l’hydrogène naturel en électricité verte. Une première mondiale qui impulse un nouvel espoir à la transition énergétique. Les principaux bénéficiaires de ce projet, c’est-à-dire les habitants de Bourakébougou, ont exprimé leur satisfaction au cours d’une visite de terrain.

Création d’emploi et électrification du village

Mamadou Konaré, chef du village de Bourakébougou, a déclaré qu’« Aujourd’hui, nous pouvons dire que nous avons un projet dans notre village. Les gens sont toujours venus avec des projets pour nous dire qu’ils nous apportent le développement. Mais ce que nous avons vu jusque-là est timide. Mais depuis la découverte du gaz et l’arrivée de la société PETROMA, nous assistons à un changement ». Il a énuméré quelques bienfaits apportés par la société d’Aliou Diallo. Ce sont par exemple des vivres distribués aux villageois et l’électricité reçue 5 jours sur 7, notamment dans la mosquée du village qui a été entièrement reconstruite. Le PDG de Petroma a même permis que certains villageois d’effectuer le pèlerinage à la Mecque. « Nous remercions tous les travailleurs de PETROMA et à leur tête monsieur Diallo, un homme de Dieu, un homme généreux », a déclaré Mamadou Konaré.

Aminata Coulibaly, Présidente des femmes du village, remercie également Mr Diallo pour les emplois fournis aux jeunes et pour la lumière apportée aux élèves, qui peuvent désormais étudier sans difficultés. « Vraiment, depuis le démarrage du projet, que de bienfaits en direction des populations! », s’est-elle exclamée. Moussa Konaré, président des jeunes de Bourakébougou met l’accent sur la création d’emplois par Petroma Inc. « Ce projet est venu pour les jeunes, car nous sommes à la quête d’emploi. Dans le cadre de l’exploitation des ressources, c’est pour la première fois qu’un projet s’installe chez nous. Pour un départ, ce que nous avons vu nous donne satisfaction. Quand il s’agit de prendre la main d’œuvre pour certains travaux, la priorité est donnée à nos jeunes. S’agissant du personnel réduit qui travaille à l’unité, le village a 6 à7 jeunes qui sont recrutés et qui travaillent à plein temps. Une chose qui à mon sens est à saluer », a-t-il dit.

Aucun « impact nuisible ni sur l’environnement, ni sur l’homme »

Evoquons enfin Sékou Siriman Diarra, président du collectif des associations et ressortissants du Belédougou, un village voisin bénéficiant de l’électricité produite par Petroma. Il est revenu sur les « rumeurs qui font état du permis d’exploration et d’exploitation du gaz par la société canadienne Pétroma Inc » ainsi que sur « l’expropriation de terres cultivables et l’impact de gaz sur les populations ». Sékou Siriman Diarra tient à rassurer les populations que la société Pétroma Inc. représentée par Alou Boubacar Diallo a investi plus de 2,5 milliards de Francs CFA dans cette phase d’exploration. « Elle n’a nullement exproprié les terres d’une quelconque  population. Au contraire, elle est en train de développer la commune du Belédougou, en donnant de l’eau, de l’électricité à partir de l’hydrogène naturel sans émission de CO2 et de faire des routes au profit des populations. Par là, il a fait comprendre aux populations que Pétroma inc n’est qu’en phase d’exploration, et que le jour où l’exploitation commencera, des milliers de jeunes bénéficieront d’un emploi et beaucoup d’autres réalisations, comme les routes, seront faites pour désenclaver et développer la commune », a-t-il ajouté. Pour lui, l’ONG Tonus, à l’origine de cette campagne de diffamation, n’est qu’une frustrée. « Il faut préciser que l’ONG Tonus était partenaire à la société Pétroma Inc. A la fin du contrat, elle a jugé nécessaire de retourner la veste, pour s’attaquer aux intérêts de la société. Les experts en la matière confirment que ce gisement de gaz découvert à Bourakébougou ne contient pas de CO2 », et n’a pas « d’impact nuisible ni sur l’environnement, ni sur l’homme ».

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