Le groupe pharmaceutique suédo-britannique aurait admis que ses précieuses doses déployées contre la pandémie du Covid sont susceptibles de provoquer de graves effets secondaires.
Le vaccin anti-Covid d’AstraZeneca pourrait bien être à l’origine de grave effet secondaire tel que le TTS (Thrombosis with Thrombocytopenia Syndrome) encore appelé syndrome thrombotique associé à une thrombocytopénie. Il s’agit d’une pathologie qui se manifeste par les céphalées, les troubles visuels ou convulsions, et les saignements cutanés ou internes dus au faible taux de plaquettes.
L’aveu provient du fabricant du vaccin lui-même, à en croire des documents judiciaires consultés par le site d’information britannique The Telegrah. Le géant pharmaceutique éponyme l’aurait en effet admis en marge d’un procès intenté contre lui par des présumées victimes.
Un recours collectif impliquant 51 plaignants a notamment été formulé contre l’entreprise devant la justice au Royaume-Uni. Avec comme réclamation, plusieurs dizaines de millions de livres sterling en guise de dommages et intérêts.
Le revers d’une trouvaille
Le premier cas concerne Jamie Scott, un père de deux enfants, dont la prise du vaccin l’a presque laissé pour mort en 2021. Le Telegraph indique que cet homme de 47 ans, parfaitement en bonne santé avant de recevoir la dose, a été victime d’un accident vasculaire cérébral après coup.
« Son histoire expose l’autre côté du « miracle » vaccinal d’AstraZeneca », ponctue le journal, rappelant les précédentes dénégations du groupe pharmaceutique quant à la dangerosité de son vaccin.
Pendant des mois, AstraZeneca a en effet balayé d’un revers de la main le moindre lien possible entre son produit et les accidents thrombotiques qui se multipliaient dès 2021. Mieux, de nombreux scientifiques alertaient sur ce risque certes rare, mais potentiellement mortel.
Un élément décisif
« Le monde médical reconnaît depuis longtemps que le VITT [thrombocytopénie immunitaire induite par le vaccin et la thrombose] est causé par le vaccin. AstraZeneca est le seul à remettre en question le fait que l’état de Jamie ait été causé par l’injection », appuie l’épouse de Jamie Scott auprès du Telegraph.
Cette position était d’autant plus tenable pour la firme que son vaccin a reçu de précieux soutiens de la part de l’OMS, entre autres. Mais le jour semble désormais se lever sur les effets indésirables d’un produit d’ailleurs délaissé par certains pays, dont le Royaume-Uni.
Alors que les plaintes se multiplient contre AstraZeneca, la reconnaissance de possibles effets secondaires par la société ouvre la voie à des paiements de lourdes indemnités.
